Auditionnée jeudi par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale, la patronne de la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a détaillé les limites dans les contrôles des pesticides dans les Antilles françaises. Des contrôleurs qui ont encore bien du mal à vérifier les ventes de fruits et de légumes hors du circuit traditionnel des magasins. Elle en appelle à des actions de l'Etat pour des sols "contaminés pour des années voire des centaines d'années".