Adoptée en première lecture au printemps, et défendue par le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, et le Garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti, elle vise à renforcer les moyens de lutte contre le terrorisme. Le texte prévoit notamment des mesures concernant les terroristes sortant de prison, ou l'utilisation des algorithmes par les services de renseignements pour identifier les individus radicalisés.