La commission des affaires culturelles s'est dotée des pouvoirs d'une commission d'enquête pour faire la lumière sur les modalités du contrôle par l'État et de la prévention des violences dans les établissements scolaires. Les travaux d'enquête, qui peuvent durer 6 mois, débutent par une table ronde réunissant des représentants de collectifs de victimes de plusieurs établissements, parmi lesquels : Notre-Dame de Bétharram, Saint-Dominique de Neuilly-sur-Seine, Saint-François-Xavier d'Ustaritz ou encore Riaumont de Liévin.